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L’athlétisme, discipline reine des Jeux

Hélène Gélinas-Surprenant, term. a. (ATIO)
(L’Actualité terminologique, volume 34, numéro 2, 2001, page 6)

Le présent article a été rédigé pour le Haut Conseil de la Francophonie en préparation du Cahier de la Francophonie  9, édition spéciale dans le cadre des IVes Jeux de la Francophonie Ottawa-Hull, Canada, 14-24 juillet 2001.

On pénètre dans un stade comme on regarde le soleil se lever : le spectacle est tout aussi grandiose, émouvant. Qu’il s’agisse d’une piste antique aux rebords de verdure, ou d’un stade moderne avec les bruits de la foule, dont on entend la clameur même quand elle a quitté les gradins, la vue élève et donne des ailes. Comme en ont coureurs, sauteurs et lanceurs qui y disputent les courses et concours au programme de l’athlétisme. De tout temps, les diverses épreuves de la discipline reine des Jeux ont permis aux concurrents de prouver qu’ils ont encore la force, la souplesse, la résistance et l’endurance des athlètes de l’Antiquité et que, comme eux, ils peuvent prétendre au titre de « dieux du stade ».

Le plateau de compétition

Le plateau de compétition a de quoi intriguer : complexe jeu de lignes et de courbes, de cercles et de triangles, il permet la tenue simultanée d’épreuves au point où le spectateur ne sait parfois où fixer son attention.

Au premier plan, la piste, un ovale aux côtés allongés, comprend huit couloirs concentriques entourant l’aire des concours de sauts et de lancers et une droite (dite aussi « droit » dans l’expression « s’engager dans le dernier droit ») pour les courses de sprint. Jadis recouverte de gazon ou de cendrée, elle est aujourd’hui faite d’un revêtement synthétique de granulés de caoutchouc et de polyuréthane qui la rend utilisable même sous la pluie et permet des performances nettement améliorées.

D’une longueur de 400 mètres mesurés à la corde, rebord interne du couloir intérieur, la piste est marquée de lignes parallèles démarquant les couloirs, et de lignes transversales, droites ou courbes, indiquant les lignes de départ, les zones de passage du témoin et la ligne d’arrivée. Les lignes de départ décalées font que tous les coureurs ont couvert la même distance au fil d’arrivée, qu’on leur ait assigné le couloir extérieur, plus long, ou le couloir intérieur, plus court.

Les huit couloirs sont numérotés à l’extrémité de la droite pour les courses sur courtes distances (dites aussi « sprints »), de même que derrière la ligne d’arrivée. Devant la première numérotation viennent, dans l’ordre, la ligne de départ continue du 110-m haies1, puis celle du 100-m et du 100-m haies; la ligne d’arrivée est la même pour toutes les courses, lesquelles se déroulent dans le sens contraire des aiguilles d’une montre.

Toutes les autres lignes en travers de la piste sont décalées. C’est le cas notamment de la ligne droite perpendiculaire à chacun des couloirs pour les courses sur moyennes distances (dites aussi « courses de demi-fond »), au cours desquelles les concurrents doivent suivre le couloir du début à la fin. Après la ligne d’arrivée, se retrouvent, dans l’ordre, le départ du 800-m, celui du 400-m, du 400-m haies et du relais 4 x 100 m, et celui du 200-m. Équitablement réparties en trois endroits sur la piste, d’autres lignes décalées représentent les zones de passage du témoin pour les courses à relais.

Les lignes de départ décalées peuvent encore prendre la forme d’une ligne courbe à partir de laquelle se prend le départ pour les courses sur longues distances (dites aussi « courses de fond »), au cours desquelles les coureurs peuvent se rabattre à la corde une fois franchie une distance initiale donnée. C’est le cas des lignes de départ courbées marquant dans l’ordre, après la ligne d’arrivée, le départ du 10 000-m et du relais 4 x 400 m, celui du 1 500-m, celui du 3 000-m steeple et celui du 5 000-m, ou servant de lignes de rabattement dans les courses sur 800 mètres et plus.

À une extrémité de la piste se trouve la rivière du steeple précédée d’une clôture fixe; lorsque se tient le  3 000-m steeple, trois autres barrières fixes en bois sont réparties à distances égales sur la piste.

À l’intérieur de la piste, l’aire des concours (anciennement « pelouse ») présente pareille répartition. Dans son format moderne, elle offre trois aires de saut et trois aires de lancer – adaptées aux quatre épreuves de sauts et quatre de lancers – combinant surface gazonnée pour la chute des engins et zones en revêtement synthétique servant de pistes d’élan pour les sauts et les lancers.

L’aire de saut en hauteur, souvent installée en bordure d’un virage de la piste, est la seule à présenter une aire d’élan non démarquée; à l’issue de sa course d’élan, le sauteur en hauteur se propulse à la verticale en appel sur un seul pied, pour contourner la barre supportée aux montants et retomber à l’intérieur de la zone de chute, sur le matelas de réception.

L’aire de saut en longueur et de triple saut répond aux exigences de ces deux épreuves. Elle se compose d’une piste d’élan en revêtement synthétique, de la planche d’appel d’où s’élancent le sauteur en longueur et le sauteur de triple saut, et de la fosse de sable dont la surface est lissée après chaque saut.

L’aire de saut à la perche a plus de panache. La piste d’élan en revêtement synthétique se termine par un butoir dans lequel le perchiste enfonce l’extrémité de sa perche pour se donner une impulsion à la verticale, en appui sur la perche tendue en arc par le poids de son corps entre le point d’ancrage et le point de préhension. La barre transversale, hissée à la hauteur désirée, est maintenue par des supports fixés aux montants dont l’extrémité supérieure doit dépasser d’au moins 10 cm la hauteur maximale qui puisse être demandée dans un concours. Le tapis ou matelas de réception entoure le butoir et l’aire de dégagement; il amortit toute chute du perchiste avant ou après le franchissement de la barre.

L’aire de lancer du javelot comprend une piste d’élan semblable à celle des aires de sauts; en revêtement synthétique, elle est clairement démarquée depuis la corde de la piste jusqu’à la ligne d’appel au-delà de laquelle le javeliste ne doit pas poser le pied. De cette démarcation, des lignes prolongent, en forme d’entonnoir, le couloir d’appel en aire de réception de l’engin, à l’intérieur de laquelle le javelot doit retomber au sol, pointe première, pour que le lancer soit considéré valable.

Parfois partiellement superposée à la précédente, l’aire de lancer du marteau et du disque a aussi la forme d’un entonnoir s’ouvrant depuis le cercle d’élan qu’entoure la cage de protection. Le lanceur de marteau, tout comme le discobole (ou lanceur de disque), ne doit mettre les pieds ni sur la bordure du cercle d’élan ni dans l’aire de réception, même une fois l’engin au sol, pour que le lancer soit considéré comme un essai valable.

Ailleurs, sur la surface gazonnée, l’aire de lancer du poids comporte également un cercle d’élan et une aire de réception en entonnoir, de dimensions plus petites, du fait que le lanceur de poids ne peut propulser l’engin aussi loin.

Le lancer du javelot est précédé d’une course d’élan, d’où la piste en couloir d’élan. Par contre, le lancer des autres engins demande un cercle d’élan : le lancer du marteau, pour l’exécution du moulinet, des tours d’engin au-dessus de la tête et de la rotation complète du corps; le lancer du disque, pour les élans en circonvolutions, ou succession de pivots sur soi-même; et le lancer du poids, pour le balancement de l’arrière vers l’avant, souvent dans un lancer dos tourné.

Une fois démystifiées la piste et l’aire des concours, le déroulement des compétitions est d’autant plus apprécié que l’on saisit la portée des enjeux et le regroupement de certaines épreuves.

Les épreuves

De nos jours, on tend à répartir les courses et les concours d’athlétisme en cinq types d’épreuves : piste, route, sauts, lancers et combinés. Sauf pour le marathon et la marche qui se disputent en finales – les temps de qualification exigés devant avoir été réalisés avant les Jeux –, il se tient des épreuves de qualification, ou qualifications, dans toutes les épreuves. Le nombre d’étapes, seizièmes de finales, huitièmes de finales, quarts de finales et demi-finales varie selon le nombre d’inscrits et les règlements en vigueur de la Fédération internationale d’athlétisme.

Les épreuves sur piste comprennent les courses sur diverses distances, pour hommes et pour femmes : 100 m, 200 m, 400 m, 800 m, 1 500 m, 5 000 m, 10 000 m, et les relais x 100 m et x 400 m; 100 m haies pour femmes, 110 m haies pour hommes, 400 m haies pour hommes et pour femmes; et 3 000 m steeple (ou steeplechase) pour hommes seulement.

Les épreuves sur route comportent les distances en marche, dite « marche olympique », 10 km pour les femmes et 20 km pour les hommes (l’épreuve sur 50 km n’étant pas disputée aux Jeux de la Francophonie), et les 42,195 km du marathon, une épreuve pour hommes et une pour femmes, parfois courues simultanément; ces courses, dont le départ est souvent donné dans le stade, se tiennent sur une route, ou sur un circuit où se cumule la distance à parcourir, et se terminent dans le stade.

Les sauts englobent le saut en hauteur, le saut en longueur, le saut à la perche et le triple saut, et s’adressent aux femmes comme aux hommes.

Les lancers regroupent le lancer du poids, le lancer du marteau, le lancer du disque et le lancer du javelot, des concours disputés par les hommes et les femmes.

Les combinés comprennent les deux épreuves couronnant l’athlète complet : le décathlon et l’heptathlon. Le décathlon, réservé aux hommes, comporte 10 épreuves disputées sur deux jours, soit quatre courses, trois lancers et trois sauts. Viennent dans l’ordre, le 100-m, le saut en longueur, le lancer du poids, le saut en hauteur et le 400-m la première journée, et le 110-m haies, le lancer du disque, le saut à la perche, le lancer du javelot et le 1 500-m, la seconde. Son pendant féminin, l’heptathlon, compte sept épreuves, soit trois courses, deux lancers et deux sauts, tenues également sur deux jours : le 100-m haies, le saut en hauteur, le lancer du poids et le 200-m le premier jour, et le saut en longueur, le lancer du javelot et le 800-m, le second. Maintenant que les femmes lancent le disque et le marteau, sautent à la perche et courent le marathon, on peut supposer que l’heptathlon, qui a supplanté le pentathlon2 en 1984, cédera la place à un décathlon pour femmes où seules les distances de courses varieront par rapport au concours masculin.

Le déroulement des courses et des concours

Sur piste, les épreuves de courtes distances, ou sprints, de 100 à 400 mètres, se courent à partir d’un bloc de départ; fait de métal s’ancrant bien à la piste, il garantit au coureur l’impulsion sans dérapage et la propulsion dont il a besoin pour atteindre rapidement sa vitesse maximale. Les versions de pointe utilisées dans les courses internationales sont reliées à un système permettant d’identifier l’auteur d’un faux départ. Dès que le responsable des départs (ou « starter ») donne le signal de départ par un coup de pistolet ou un signal électronique, le système de chronométrage est actionné; lorsque les coureurs s’approchent de l’arrivée, la caméra branchée au système et filmant en continu, enregistre, à partir d’un compteur avec lequel elle est synchronisée, les temps des athlètes, au centième de seconde près, au moment précis où la tête et le buste ont franchi la ligne.

Pour les épreuves sur moyennes distances, ou courses de demi-fond, ou sur longues distances, ou courses de fond, le départ se prend debout ou penché, sans recherche d’impulsion rapide puisque le coureur doit doser l’utilisation de ses énergies; dans ces courses, une distance donnée doit être franchie à l’intérieur du couloir assigné avant que le coureur ne puisse se rabattre à la corde. Il lui faut alors veiller à ne pas nuire à un autre coureur ou à ne pas être victime d’accrochage, surtout lorsqu’il y a passage du témoin entre relayeurs dans une course à relais; dans ce cas, le coureur doit passer le témoin à son relayeur à l’intérieur des vingt mètres réglementaires puis, devenu relayé, se retirer de la piste sans nuire aux coureurs des autres équipes de relais. Dans un sprint sur 100 mètres, une deuxième accélération survient vers le 60e mètre alors que, sur de plus longues distances, le coureur réserve sa puissance d’accélération pour la fin; dans une course de fond bien dosée, le dernier tour sera le plus rapide.

Dans les épreuves de sauts, une course d’appel précède l’élan vers le haut ou vers l’avant. Au saut en longueur et au triple saut, le sauteur doit éviter de poser le pied au-delà de la ligne d’appel, sans quoi le saut est annulé; il a droit à cinq essais, et le meilleur saut lui est crédité. Au saut en hauteur et au saut à la perche, le sauteur et le perchiste disposent de trois essais pour franchir la barre; pour que le saut soit valable, cette dernière peut osciller mais ne doit pas tomber. S’il y a réussite au premier essai, le sauteur doit attendre que tous les autres aient, soit réussi, soit échoué à cette hauteur avant de pouvoir s’essayer à une hauteur de barre plus élevée. Au saut en hauteur, la barre est habituellement franchie par rouleau dorsal (ou extension dorsale), dit « saut à la Fosbury » du nom du sauteur l’ayant utilisé pour la première fois; au saut à la perche, le passage de la barre s’effectue par rouleau ventral, pieds premiers.

Dans les épreuves de lancers, une course ou une motion d’appel précède l’impulsion donnée à l’engin pour le projeter devant soi. Au lancer du javelot, le lanceur doit éviter de poser le pied à l’extérieur du corridor d’élan et au-delà de la ligne d’appel, sans quoi son lancer est annulé. Aux lancers du poids, du disque et du marteau, l’élan se donne à l’intérieur du cercle d’appel; la motion s’effectue habituellement par des pivots sur soi à l’issue desquels le lanceur imprime à l’engin toute la force d’accélération accumulée dans cet élan. Plus rarement utilise-t-il l’élan en pendule qui nécessite une force pure, hors du commun. Au moment de dégager l’engin et de lui imprimer une trajectoire, l’athlète doit veiller à ne pas mordre, ou toucher du pied, le butoir du cercle d’appel; aux lancers du disque et du marteau, il évitera, en outre, de se retirer en passant à l’intérieur des lignes de lancer franc pour ne pas voir son essai annulé.

Dans tous les concours, les mesures de distance sont déterminées en mètres. Au saut en longueur et au triple saut, le saut est mesuré depuis la ligne d’appel jusque derrière la première marque laissée dans le sable à la réception du saut. Au lancer du javelot, le mesurage du jet depuis le centre de la ligne d’appel jusqu’à la pointe du javelot au sol établit la longueur du jet. Pour les autres lancers, le mesurage du lancer depuis le centre avant de l’arc du cercle d’appel jusqu’au point de chute de l’engin, soit à la marque au sol au point d’impact de la tête du poids ou du marteau ou de la jante du disque, détermine la longueur du lancer.

Au steeplechase, les coureurs doivent franchir 27 haies et effectuer 7 sauts de rivière; les haies sont fixes et les coureurs peuvent les enjamber ou y poser le pied, voire les renverser, tout comme ils peuvent mettre le pied à l’eau.

À la marche, l’un des pieds du marcheur doit toujours être en contact avec le sol. Au cours d’une épreuve, un officiel signale un avertissement à l’aide d’un carton blanc; un carton rouge entraîne le retrait du marcheur de la compétition.

Au marathon, les coureurs ne doivent recevoir aucune aide de l’extérieur; les marathoniens peuvent se rafraîchir aux points d’eau ou postes de ravitaillement installés par les organisateurs de l’épreuve.

Pour qu’on puisse homologuer un record dans les épreuves disputées sur la droite de la piste, soit les sprints sur 100 et 200 mètres et les sauts de haies sur 100 et 110 mètres, de même qu’au saut en longueur et au triple saut, il ne doit pas y avoir eu un vent de dos favorable supérieur à 2 m à la seconde, ou 7,19 km à l’heure, mesuré par l’anémomètre.

Les épreuves d’athlétisme sont basées sur l’équité et le respect des opposants; l’athlète coupable d’interférence dans une course peut être disqualifié. De même, un deuxième faux départ entraîne la disqualification d’un coureur.

« À vos marques! Prêts! Partez! » Depuis longtemps ils en rêvaient et voici venu, pour les athlètes, le moment de prendre le départ. En quelques minutes, voire quelques secondes, les résultats de l’effort prouveront que les années d’entraînement n’ont pas été vaines : y aller de toute sa détermination, être fidèle à son plan de course, ne laisser rien ni personne nuire à sa concentration, puiser en soi des ressources insoupçonnées et jouer franc-jeu afin de demeurer fier de sa performance dans la victoire comme dans la défaite, et d’emporter le souvenir d’une heureuse participation à un événement d’envergure.

À tous les athlètes, souhaitons qu’au-delà du classement obtenu, toutes ces heures consacrées à la maîtrise de « leur sport » aient été pour eux une merveilleuse école de vie!

NOTES

  • Retour à la note1 Les distances s’écrivent au pluriel et sans trait d’union : « 100  mètres » ou « 100 m »; le nom d’une épreuve est masculin singulier et s’écrit avec trait d’union : « le 100-mètres » ou « le 100-m ». Ainsi, on écrira « courir le 100-m » (l’épreuve) mais « courir sur 100 m » (la distance). Lorsqu’un coureur termine le 400-m, on écrira, par exemple, qu’il a eu de la difficulté dans les derniers 100 mètres (et non dans le dernier 100-mètres), ce « 100 mètres » étant une distance et non une épreuve. Cette règle d’écriture est rarement respectée, puisqu’on sous-entend presque toujours le terme « distance »; on dit communément : « courir le 100 m et le 200 m » (participer à la course disputée sur une distance de 100, 200 mètres); « participer au 400 m et au 4 x 400 m » (prendre le départ de la course sur 400 mètres et au relais de 4 fois 400 mètres).
  • Retour à la note2 Le pentathlon, épreuve apparue en 1954, comprenait le 80-m haies, le lancer du poids, le saut en hauteur, le saut en longueur et le 200-m.

Bibliographie

Corbeil, Jean-Claude et Ariane Archambault, Le Visuel, Dictionnaire thématique français-anglais, Québec/Amérique, 1992, L’athlétisme, pages 654 à 658.

Encyclopédie Les sports, Collection « Les jeunes découvreurs », Larousse, 1995, L’athlétisme, pages 8 à 11.

Hammond, Tim, Des sports et des jeux, traduction d’Iris Dorée, Gallimard, 1993, L’athlétisme, pages 38 à 41.

La Presse, Les Jeux de nos athlètes, cahier  2, Montréal, samedi 9 septembre 2000, L’athlétisme, pages 1 à 7.

La Presse, Cahier des sports, couverture des XXIIes Jeux Olympiques d’été, Montréal, du 15 septembre au 2 octobre 2000.

Société Radio-Canada, Vers les Jeux Olympiques d’été, Les Entreprises Radio-Canada, 1984, L’athlétisme, pages 115 à 129.

Société Radio-Canada, Allô Sydney, pages Internet sur les XXIIes Jeux Olympiques d’été de 2000, Montréal, L’athlétisme.

Société Radio-Canada, Sydney 2000, couverture télévisée des XXIIes Jeux Olympiques d’été, du 15 septembre au 1er octobre 2000.