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… Et vogue L’Actualité

Jean Delisle, trad. a., term. a.
(L’Actualité langagière, volume 5, numéro 3, 2008, page 10)

Extrait de La terminologie, histoire d’une profession, à paraître en octobre 2008 chez Linguatech, éditeur.

Combien de périodiques maison qui, peu de temps après avoir quitté le port dans l’euphorie des grands départs, ont fait naufrage. Ils avaient appareillé pour un long voyage, mais l’aventure a mal tourné. L’Actualité terminologique, un des produits vedettes du Bureau, n’a pas connu cette fin tragique. Après Meta, qui a fêté ses cinquante ans en 2005, L’Actualité terminologique se classe bon deuxième au pays par sa longévité. La revue a quarante ans; elle paraît avec la régularité d’un métronome depuis 1968. L’année de sa naissance, avion-citerne, climatiseur, contraception, hallucinogène et imprimante font leur entrée dans Le Petit Larousse illustré. Ces nouveautés lexicales sont alors d’actualité.

Photo de Laurent Clément
Laurent Clément

En 1968, la terminologie ne s’enseigne pas, les manuels sont inexistants, la méthodologie de la recherche terminologique est embryonnaire, les banques informatisées ne sont pas encore en gestation et les tâches des terminologues restent à définir. Qu’à cela ne tienne! Le Bureau des traductions du Secrétariat d’État se dote d’une publication officielle en terminologie, initiative du chef de son Centre de terminologie, Laurent Clément (1917-1987). Ce pionnier de la terminologie à Ottawa est reçu à l’examen de recrutement du Bureau en 1944 et affecté à la Division des Livres bleus. En 1957, on le nomme chef au ministère de la Défense nationale. Dans les années 1950, il est actif à l’Association technologique de langue française d’Ottawa (ATLFO) et responsable du Bulletin de l’Association, dans lequel il tient la chronique « Peut-être l’avez-vous oublié? », consacrée à l’étude de termes particuliers. Cette expérience éditoriale lui aura sans doute inspiré la création de L’Actualité terminologique. Laurent Clément est aussi l’auteur du Glossaire de l’OTAN (BT–39), qui connut deux éditions. Après avoir été chef du Centre de terminologie pendant deux ans, il est nommé directeur du Perfectionnement (1968), puis se voit confier la responsabilité de la Direction de la recherche et du perfectionnement (1972). Il prend sa retraite en 1975.

En évoquant le souvenir du regretté Pierre Daviault (1899-1964) et de son successeur, Denys Goulet (1901-1996), qui venait tout juste de prendre sa retraite (1967), le surintendant de l’époque Henriot Mayer (1908-1982) établit une filiation directe entre l’action de ces deux pionniers de la terminologie et le nouvel organe du Bureau : « L’un et l’autre, écrit-il, ont jeté des semences qui continuent de porter fruit et le présent bulletin s’insère dans la ligne des initiatives qu’ils ont eux-mêmes prises ou préconisées » (Mayer, 1968). À ses yeux, la raison d’être de la revue est essentiellement de tenir « les traducteurs au courant de l’actualité terminologique et linguistique ». Mais qu’est-ce à dire?

Les premiers artisans du bulletin donnent un sens très large au mot terminologie. Ce terme englobe rien de moins que toutes les difficultés qui se posent à « quiconque est appelé à parler et à écrire en français » ou à « quiconque s’intéresse de près ou de loin aux questions de langue » (« Avis au lecteur », 1968). Vaste champ à ratisser! Et comme il ne suffit pas de posséder la terminologie d’un sujet pour bien traduire, rappellent-ils, L’Actualité terminologique fera aussi une place aux règles du style, à la grammaire et au bon usage. Le concept de « terminologie », qui n’a pourtant pas cette élasticité notionnelle, englobe les problèmes d’ordre grammatical, stylistique et normatif. On fait de terminologique un synonyme de linguistique. Quant au mot actualité, l’extension qu’on lui donne n’est pas moins étonnante : « Il convient de le prendre dans son acception la plus large de tout ce qui peut, à un certain moment, présenter de l’intérêt ou se révéler utile pour le traducteur ou le rédacteur. Il y a en traduction, comme dans beaucoup d’autres domaines, des questions qui sont toujours d’actualité » (« Avis au lecteur », 1968). De ces deux définitions nébuleuses, il ressort que L’Actualité terminologique peut traiter de tout, que le sujet soit actuel ou non, terminologique ou non. Elles témoignent de deux choses : a) on ne sait pas, à l’époque, ce qu’est vraiment la terminologie; b) les rédacteurs n’ont aucun programme éditorial précis. Si la longévité du bulletin avait tenu à la clarté de son orientation initiale, le navire aurait coulé dans le port!

Ce ne fut pas le cas, heureusement. Il est demeuré à flot et a largué les amarres pour un voyage au long cours, mais sans maître d’équipage à bord. Il faut attendre, en effet, le numéro de novembre 1977 pour que soit mentionné le nom du rédacteur en chef du bulletin. En fait, il s’agit d’une rédactrice en chef, Denise McClelland, arrivée à la barre en 1975. « C’était l’époque où les premiers "rédacteurs en chef" […] étaient surtout "rédacteurs-tout-court". Leur source d’inspiration, c’était leurs propres fiches, amoureusement amassées au fil d’une longue carrière, et qui paraissaient sous divers titres : "Petit lexique", "Fiches de famille", etc. » (McClelland, 1988). On peut ajouter « Chronique des mots nouveaux » et « Équivalents ». La rédaction d’articles était plus ou moins laissée au bon vouloir des terminologues, et chacun décidait lui-même des sujets qu’il allait traiter. Ces rédacteurs-terminologues qui ont donné au bulletin son premier élan ont pour noms Albert Beaudet, Henri Dumas, Rachel Lévesque, André Saint-Martin, Gérard Proulx. Leurs articles sont anonymes. « Le principe de la signature n’était pas encore accepté à cette époque. Seules étaient signées les contributions provenant de l’extérieur du service » (ibid.). Au cours de ces années que l’on peut qualifier d’héroïques, il n’y a pas de calendrier de production, et le système d’appel d’offres, obligatoire à la fonction publique, fait en sorte que la mise en pages du bulletin peut être confiée à un atelier d’Ottawa et son impression à un imprimeur de Vancouver, avec tous les aléas que cela peut comporter.

Si l’on s’attarde au contenu du périodique, on constate que L’Actualité terminologique est bien peu terminologique dans ses dix premières années d’existence. On y traite de la présentation de la lettre, du trait d’union, de l’ellipse, de l’usage des guillemets ou de la distinction à faire entre des mots tels que copie, double, exemplaire et original. Les appels à contribution publiés occasionnellement dans le bulletin indiquent d’ailleurs que les articles peuvent porter sur la grammaire, la stylistique, la traduction ou la documentation. Sur la méthodologie de la recherche terminologique également, bien que méthodologie soit entendue au sens de « "trucs" du métier ». La réflexion théorique est minimale, voire quelque peu simpliste. On peut lire sous la plume d’Albert Beaudet que le « dépouilleur », c’est-à-dire le traducteur-terminologue qui se met en chasse d’un équivalent français, « ne doit pas raisonner », mais, « crayon ficheur à la main », se contenter de « fouiller sa documentation » (Beaudet, 1971a; 1971b). Et c’est ce que fait cet auteur qui produit des pages d’« Équivalents », titre de la chronique qu’il alimente pendant sept ans. Bon nombre de ces équivalents (ex. : ash-tray stand : « pied fumeur »; freezer compartment : « armoire de conservation ») suscitent la critique au point où l’auteur doit justifier sa démarche (Beaudet, 1972). La disparition de cette chronique coïncide avec le départ à la retraite du chroniqueur et l’arrivée de Denise McClelland à la direction du bulletin en 1975.

Photo de Denise McClelland
  Denise McClelland

Plusieurs terminologues ont signé de bons articles au cours de cette période où L’Actualité terminologique cherche manifestement sa voie. Il suffit, pour s’en convaincre, de relire les contributions de Gérard Asselin, Jean Duval, Claude Lécrouart, Patrick F. McNamer et André Senécal. Celles aussi des premiers diplômés en traduction formés aux techniques de la recherche terminologique à l’Université de Montréal, sous la houlette de Robert Dubuc. Ils publiaient alors leurs premiers travaux : Claude Bédard, Charles Dupont, François Gauthier, Diane Michaud, Alain Morissette. Il reste que, globalement, le contenu du bulletin au cours de ses dix premières années d’existence est plutôt hétéroclite et de qualité inégale.

Dans les années 1980, l’activité terminologique est mieux organisée au Bureau, grâce, entre autres, à la restructuration des services de terminologie ayant conduit à la création de la Direction générale de la terminologie et de la documentation (DGTD) en 1975. Les terminologues font maintenant partie d’équipes et travaillent à des projets de recherche précis. Chacun, lentement, se spécialise. On commence donc à utiliser le bulletin comme moyen de diffusion de travaux terminologiques. Les articles sont plus longs, plus substantiels, plus méthodiques, plus fiables. Plus terminologiques, aussi. Les quatre pages du bulletin ne suffisent plus. On augmente leur nombre à huit, puis à douze. La rédactrice en chef peut désormais s’offrir le luxe de planifier les numéros à venir et d’établir un calendrier de production. Un comité de lecture élargi évalue les contributions à partir de critères précis : utilité et originalité du sujet, solidité de la documentation, rigueur de la démonstration, qualité de la forme. De plus en plus de terminologues anglophones livrent le fruit de leurs travaux sur la langue spécialisée anglaise : Mariam Adshead, Helen Hutcheson, Andy Lauriston, David Martin, Patrick McNamer, Lois Vincent signent des articles de bonne tenue.

En 1981, pour satisfaire à une exigence de la Loi sur les langues officielles du Canada, le mensuel commence à être connu aussi sous le nom anglais de Terminology Update. Les deux désignations sont superposées sur la page titre. Les recherches traitent de domaines plus techniques, comme « La décapeuse » (Yvan Cloutier), « La robotique » (Georges Lurquin), « L’intelligence artificielle » (Silvia Pavel), « La tectonique des plaques » (Dominique Bauthier et Georges Lurquin), « Les biotechnologies » (Lise Boudreault-Lapointe), « Les vides de construction » (Bruno Couture), « L’épidémiologie » (David Martin). Le bulletin a un tirage de plus de trois mille exemplaires et est diffusé en Europe, en Afrique et en Amérique du Sud. Les services linguistiques des organismes internationaux y sont abonnés. Après vingt ans de navigation, l’équipage a pris de l’expérience et le navire vogue allègrement, vent en poupe.

Au tournant des années 1990, sous la gouverne de Michèle Valiquette, la publication se transforme en une revue trimestrielle semi-thématique. Elle se réoriente pour mieux répondre aux besoins de son lectorat toujours composé majoritairement de traducteurs, de rédacteurs et de terminologues. La revue explore de nouveaux horizons et cherche à susciter la réflexion sur les divers aspects des professions langagières. Premiers thèmes retenus : la médecine, les techniques, la terminotique, la normalisation et l’administration. La revue fait une place grandissante à la néologie, à la phraséologie, à l’aménagement linguistique, à la traduction assistée par ordinateur, aux réalités concernant la francophonie, au réseau Internet émergeant et aux industries de la langue. Elle est en phase avec l’actualité langagière. En 1994, année du vingt-cinquième anniversaire de la Loi sur les langues officielles, s’installe la pratique de publier des articles dans leur version originale et en version traduite. Faut-il y voir une simple coïncidence? L’année précédente, le périodique s’était refait une toilette et avait adopté un nouvel air de jeunesse. Le nombre de pages augmente encore et atteint la quarantaine, parfois davantage. C’est dix fois plus que les premiers numéros. La chronique « El Rincón Español » (Le coin espagnol) est inaugurée en 1999. On y fait paraître des articles signés par des traducteurs ou des terminologues du Bureau et qui donnent une voix aux terminologues travaillant dans cette langue, dont Yolande Bernard, Genny González, Irma Nunan, Elisa Paoletti, Rafael Solís et Noris Vizcaíno. Il arrive que les articles soient rédigés par des collaborateurs externes, comme María Pozzi.

Photo de Michèle Valiquette  Photo de Robert Bellerive
Michèle Valiquette      Robert Bellerive

En septembre 2004, après avoir sillonné les mers de la terminologie, voilà que le navire s’engage sur le vaste océan de l’information langagière. L’Actualité terminologique devient L’Actualité langagière / Language Update. Pour ce nouveau périple, le bâtiment hisse à son mât les couleurs du Bureau de la traduction pour marquer de manière plus évidente encore son appartenance à l’organisme. Le compteur repart à zéro. « Si la revue se départit d’un titre devenu un peu trop juste [restrictif] au fil des ans, explique la rédactrice en chef, Martine Racette (2004), en poste depuis cinq ans, c’est pour mieux traduire l’ampleur des sujets qu’elle traite et pour mieux rendre compte du regard qu’elle jette depuis un bon moment déjà sur la mouvance de l’industrie de la langue. » Une nouvelle chronique voit d’ailleurs le jour : « L’industrie en marche ». Rappelons au passage que le mot langagier date de 1382 et a signifié « bavard » jusqu’au XVIIe siècle. Récemment, il a pris l’acception didactique de « relatif au langage, à l’emploi que l’on en fait » (1941). Au Québec, le mot a été substantivé pour désigner le « spécialiste des problèmes de langage et de terminologie (dans un organisme, une entreprise) » (Rey, 2000, II). La création de ce néologisme, dans les années 1980, est attribuée à Pierre Marchand, alors président de la Société des traducteurs du Québec (1981-1983) et cofondateur du magazine Circuit (1983). Coiffée de son nouveau nom, la revue continue d’offrir un contenu diversifié. On y relève encore des études terminologiques assez pointues, par exemple, sur le droit des fiducies (Iliana Auverana), les bulletins d’avalanche (Louise Claude) ou l’énergie éolienne (Jean Le Page).

Année après année, le succès mérité des chroniques fort appréciées de Frèdelin Leroux fils (« Mots de tête »), de Frances Peck, d’André Racicot (« Traduire le monde »), de Jacques Desrosiers et de Katherine Barber (« Wordsleuth ») ne se dément pas. Ces chroniques, où la finesse d’esprit, l’intelligence et l’humour font bon ménage avec le sérieux et la pertinence du propos, sont rédigées avec un professionnalisme exemplaire. Le trimestriel est une fenêtre sur l’évolution de l’industrie de la langue, sur les activités du Bureau et sur sa participation aux grands dossiers qui contribuent au rayonnement de l’industrie. Il renseigne aussi sur les nouvelles terminologies, traite de problèmes courants de traduction et suit l’évolution de l’usage. Ses « Glanures linguistiques », chronique inaugurée en 1997 par le rédacteur en chef, Robert Bellerive (1950-1999), s’adressent aux « lecteurs qui n’ont peut-être plus le temps de dépouiller systématiquement les bons journaux et les grandes revues d’ici ou d’ailleurs dans lesquels s’exprime la vigueur du français » (1997). C’est en fait la « Chronique des mots nouveaux » revisitée. Si le qualificatif langagier que l’on a substitué à terminologique dans le nom du périodique traduit bien la nouvelle orientation de la revue, d’aucuns pourront regretter que ce déterminant générique diminue la visibilité de la terminologie en tant que discipline et profession.

En 2007, L’Actualité langagière tirait à 2500 exemplaires. Le personnel du Bureau la recevait d’office. Elle était lue également par plus de 400 abonnés, dont 352 au Canada et 75 à l’étranger. À partir du numéro de mars 2008, la revue est diffusée gratuitement sur le site Web du Bureau, ce qui lui donne un plus grand rayonnement encore. Plus que jamais, elle sera « l’outil d’aide à la rédaction et à la traduction par excellence d’un vaste lectorat de professionnels et de non-spécialistes », comme l’a écrit la présidente-directrice générale du Bureau, Francine Kennedy (2004). C’est en substance le vœu qu’avait formulé quarante ans plus tôt le surintendant Henriot Mayer, lorsqu’il avait souhaité que la nouvelle publication contribue « à renforcer l’armement linguistique » (1968) des traducteurs et des rédacteurs. Ainsi, la boucle est bouclée. L’Actualité retrouve sa vocation première : être une revue à vaste rayon d’action, une publication langagière au sens le plus large possible.

Après quatre décennies de navigation en haute mer, L’Actualité langagière a toujours sa raison d’être et l’actualité lui dicte encore les changements de cap à effectuer. Dans la panoplie des outils d’aide à la rédaction et de normalisation du Bureau, ce miroir fidèle de l’évolution de la terminolinguistique au sein de cet organisme occupe une place de choix aux côtés de la banque de données linguistiques (TERMIUM®), du service de consultation terminologique (SVP) et des lexiques et vocabulaires spécialisés. C’est une excellente vitrine pour les nombreux produits et services du Bureau.

En cette année anniversaire, il convient de rendre hommage à tous les vaillants capitaines qui se sont succédé à la barre du navire.

La rédaction

1968-1975 : Rédaction collégiale : Gérard Asselin, Albert Beaudet, Laurent Clément, Rachel Lévesque, Gérard Proulx.

1975-1979 : Denise McClelland.

1979-1981 : Pierre Goulet remplace Denise McClelland pendant son détachement au projet de rédaction du Guide du rédacteur de l’administration fédérale.

1981-1988 : Denise McClelland, jusqu’au vol. 21,  3.

1988-1996 : Michèle Valiquette. Christine Leonhardt dirige les nos 6 (vol. 21) et 1 (vol. 22).

1997-1999 : Robert Bellerive, jusqu’au vol. 32,  3.

1999-        : Martine Racette.

Tous ces capitaines et leur équipage ont su habilement manœuvrer le navire pendant cette longue expédition, ponctuée d’innombrables escales. Souhaitons bon vent à l’équipage qui conduira le navire jusqu’au prochain port, celui de son glorieux cinquantenaire en 2018.

RÉFÉRENCES

« Avis aux lecteurs » (1968), L’Actualité terminologique, vol. 1,  1, p. 1-2.

BEAUDET, Albert (1971a), « Cheminement terminologique : fair-weather friend », L’Actualité terminologique, vol. 4,  10, p. 3.

BEAUDET, Albert (1971b), « La traduction peut-elle s’enseigner et s’apprendre? », Le Droit, 7 août, p. 4.

BEAUDET, Albert (1972), « "Nos" équivalents », L’Actualité terminologique, vol. 5,  2, p. 1-3.

BELLERIVE, Robert (1997), « Glanures linguistiques », L’Actualité terminologique, vol. 30,  1, p. 25.

KENNEDY, Francine (2004), « Place à L’Actualité langagière! », L’Actualité langagière, vol. 1,  1, p. 6.

MAYER, Henriot (1968), « Les voeux du Surintendant », L’Actualité terminologique, vol. 1,  1, p. 1.

McCLELLAND, Denise (1988), « L’Actualité terminologique au fil des ans », L’Actualité terminologique, vol. 21,  1, p. 2-4.

RACETTE, Martine (2004), « Mot de la rédaction », L’Actualité langagière, vol. 1,  1, p. 3.

REY, Alain (dir.) (2000), Dictionnaire historique de la langue française (c1992), Paris, Les Dictionnaires Robert, 3 t.