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Steven Hunt © Ministre des Travaux publics et En vente au Canada chez votre libraire local ou par la poste, par l'entremise de Les Éditions du gouvernement du Canada ? N° de catalogue S53-22/1997 Données de catalogage avant
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Steven Hunt © Minister of Public Works and Available in Canada through your local bookseller or by mail from Canadian Government Publishing ? Catalogue No. S53-22/1997 Canadian Cataloguing in
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La présidente-directrice générale Diana Monnet Chief Executive Officer |
C'est en grande partie pour combler des lacunes mnémoniques personnelles que j'ai établi le Lexique analogique, dont je me suis abondamment servi dans toutes sortes de contextes au fil des ans. Satisfait au départ, je n'ai pas tardé à y relever de multiples lacunes, en particulier quant à l'ordre ou au désordre des équivalents proposés. Ce constat est sans doute imputable au recul, mais aussi au fait qu'ayant élaboré le premier document en dehors de mon activité professionnelle normale, je ne disposais à l'époque ni du temps ni de la tranquillité d'esprit voulus pour systématiser et approfondir ma démarche.
Ces dernières années, les lacunes en question m'ont paru encore plus évidentes et j'ai acquis la conviction qu'une véritable refonte était devenue nécessaire. Sans compter que des termes importants s'étaient déplacés vers l'avant-scène depuis 1989 et que des solutions neuves s'étaient imposées pour des termes retenus à l'origine. À la fin de 1995, mes voeux ont été exaucés et je me suis vu accorder du temps pour réaliser ce projet.
L'optique qui a présidé à la refonte s'accorde avec l'orientation initiale : d'une part l'analyse de difficultés courantes, d'expressions en vogue et de mots passe-partout en anglais, d'autre part l'établissement de listes d'équivalents pouvant être parcourues rapidement et susceptibles de favoriser une écriture à la fois souple et précise en français. Il s'agit dans mon esprit d'une sorte de recherche appliquée visant à faciliter le travail des traducteurs et rédacteurs professionnels, mais dont peuvent aussi tirer parti tous ceux qui écrivent ou traduisent à l'occasion.
Sur le plan des détails et de la forme, j'ai apporté plusieurs changements, expliqués ci-après dans la section STRUCTURE. Entre autres, j'ai accordé beaucoup d'attention à l'arrangement des équivalents, croyant que, même pour un ouvrage de cette nature, il importe de garder à l'esprit le point de vue de Pascal selon lequel «[...] les mêmes mots forment d'autres pensées par leur différente disposition [...] et les sens diversement rangés font différents effets» (Pascal, Pensées, Préface générale (l'ordre)).
Une cinquantaine de nouvelles entrées ont été ajoutées au présent document ? dont on trouvera la liste sous TERMES NOUVEAUX. Il va de soi qu'un certain arbitraire a présidé à leur choix, mais le degré de difficulté, la «popularité» ainsi que la richesse et la complexité des notions ont constitué des critères importants.
Parmi les termes retenus au départ, j'ai constaté que plusieurs étaient maintenant traités de façon exhaustive dans TERMIUM®, la banque de données linguistiques du gouvernement du Canada, ou diverses sources facilement accessibles, tandis que d'autres s'avéraient trop spécialisés ou trop rares pour un ouvrage comme celui-ci, de sorte que j'ai fait quelques suppressions pour rehausser la cohérence générale et réduire au minimum les doubles emplois (elles sont indiquées au paragraphe 5 du SOMMAIRE DES MODIFICATIONS). Dans le même ordre d'idées, j'ai éliminé de nombreuses «sous-entrées» à policy, non- et self-, certes parce que le délai imparti limitait les possibilités d'analyse, mais également afin de privilégier des notions aux équivalents multiples pouvant servir de synonymes en français.
D'autres suppressions ou ajustements auraient peut-être été indiqués, mais j'ai aussi voulu conserver le cachet du premier document qu'une épuration trop stricte aurait édulcoré; en outre, devant l'alternative de multiplier les interventions formelles pour des résultats somme toute insignifiants ou de pousser plus loin l'analyse comme telle, j'ai choisi cette dernière option.
Tant pour la première édition que pour celle-ci, divers termes et solutions m'ont été recommandés par des collègues traducteurs; je leur témoigne ici ma reconnaissance. Je réitère mes remerciements à tous ceux qui m'ont appuyé lors de la première édition et je remercie également de façon particulière, en ce qui a trait à la présente refonte : mes collègues anglophones, Élizabeth Cowan, Carol Edgar et Patricia Galbraith, pour leurs nombreux conseils utiles; Frèdelin Leroux, pour ses précieux avis et son approche enthousiaste des problèmes linguistiques et traductionnels; Alain Beaudoin, pour son infatigable lutte contre la traduction servile, pour m'avoir si souvent servi de guide dans les méandres de la langue juridique et, dans le cas présent, pour sa contribution à l'élaboration de la fiche «jurisdiction»; Denise Langlois, pour la relecture critique des pages liminaires; Denis Gauvin et Louise Picard, pour plusieurs solutions nouvelles aux termes déjà analysés; Moïse Khadour, pour m'avoir fourni une imprimante de qualité qui a facilité la mise en page à la source; Nicole Vilandré, pour avoir aimablement mis à ma disposition plusieurs ouvrages de référence indispensables; et Gilles Martel, pour m'avoir obtenu rapidement la version la plus récente de TERMIUM® sur CD-ROM.
Je tiens en outre à exprimer ma gratitude à l'ex-directeur de la Traduction parlementaire et de l'Interprétation pour le Bureau de la traduction, M. Alphonse Morissette, qui a accepté de me détacher du court terme afin que je puisse me consacrer entièrement à cette refonte; un tel appui était essentiel à la concrétisation de l'entreprise.
On m'a posé plusieurs fois la question : qu'est-ce qu'un lexique «analogique» ? pourquoi «analogique» ? Réponse : parce que l'analogie y tient un grand rôle. Dans le sens courant, le Grand Robert la définit comme une «ressemblance établie par l'imagination [...] entre deux ou plusieurs objets de pensée essentiellement différents»; d'après le Trésor de la langue française, l'analogie est un «rapport de ressemblance, d'identité partielle entre des réalités différentes préalablement soumises à comparaison [...]».
Dans la partie lexique, les renvois analogiques en caractères gras permettent de passer du terme consulté à un autre, dont le sens ou l'un des sens a un rapport de ressemblance avec le premier et qui, à la limite, aurait pu tout aussi bien être choisi par le rédacteur anglophone pour exprimer son idée; toujours dans la partie lexique, les «blocs» de mots ou d'expressions ? principale nouveauté de la présente édition ? constituent d'autres groupements à caractère analogique. Par ailleurs, les entrées figurant dans l'index anglais renvoient à des termes analogues du lexique dont les équivalents peuvent, selon le contexte, rendre adéquatement l'idée à exprimer. Quant à l'index français, il fait voir des liens analogiques à partir de mots ou d'expressions en français qui figurent en différents endroits du lexique. (On trouvera dans la partie STRUCTURE une explication détaillée de ces trois éléments constitutifs de l'ouvrage.)
Dans tout le document, la forme masculine est utilisée sans aucune discrimination, uniquement pour alléger la présentation et faciliter la consultation.
Enfin, bien qu'il ait fait l'objet d'une démarche beaucoup plus rigoureuse que son prédécesseur, le nouveau Lexique analogique n'est ni exhaustif ni limitatif; il y aurait eu beaucoup d'autres termes à traiter, et l'outil refondu comporte fatalement des points faibles. Puisse-t-il néanmoins rendre de fréquents services.
J. Dubé
Englobant près de 5 000 entrées qui correspondent essentiellement aux équivalents de la partie lexique, cet index peut servir de dictionnaire de synonymes pour le langagier bilingue qui écrit en français. Par exemple, un traducteur cherche des façons variées d'exprimer l'idée de fournir en français : il consulte ce terme dans l'index, qui le renvoie à delivery, including, input, maintain, provide et support dans la partie lexique, où il trouvera une abondante moisson de mots et d'expressions apparentés. Pour l'idée d'équilibre, sept voies distinctes lui sont proposées, c.-à-d. appropriate, control, gender-, level playing field, match, offset et trade-off, qui présentent chacune un éclairage particulier de la notion. Il choisit donc, suivant les renvois en anglais, le «thème» qui a le plus de pertinence dans son contexte.
C'est toujours l'idée de [qqch.] qui prime, de sorte qu'un terme de l'index français ne se retrouve pas nécessairement tel quel dans une liste où l'on renvoie l'utilisateur. Par exemple, pour interdire, l'index renvoie à deterrent et à disincentive parce qu'on trouve à ces entrées non pas le mot en question, mais des équivalents pouvant traduire certains aspects de la notion d'interdire. À l'inverse, un mot figurant dans une liste d'équivalents de la partie lexique ne sera pas nécessairement repris dans l'index (voir ci-dessous le paragraphe 3 concernant le droit de cité).
Lorsqu'une liste de termes et d'expressions contraires est présentée en regard de la liste principale dans la partie lexique, l'index n'indique que le terme principal (indisponible renvoie à available, flou renvoie à focus, etc.). Même chose pour les «sous-entrées», c.-à-d. les mots ou expressions qui relèvent d'autres termes, comme leadership, to gain (gather) momentum ou to have a hidden (secret) agenda : l'index ne renvoie alors qu'au terme principal (en l'occurrence leader, momentum et agenda). Les expressions traitées à policy, non- et self-, inscrites au long dans les renvois, constituent une exception à cette règle.
Il n'y a aucune mise en garde dans l'index, même dans les cas où un terme est suivi d'un point d'interrogation dans la partie lexique (v. l'explication du point d'interrogation sous SIGNES). En tant que répertoire de «synonymes», l'index n'est pas le lieu d'un jugement et il doit au contraire aider à trouver des solutions de rechange à des mots ou expressions plus ou moins critiqués en français (p. ex., background, challenge, pattern, ou via).
1) Le classement
Le système de base pour le classement des entrées est l'ordre alphabétique absolu. Toutefois, on atteint vite les limites d'un tel système lorsqu'on veut classer des expressions à plus d'un endroit et qu'on doit par conséquent les inverser en utilisant les parenthèses. L'auteur s'est donc fixé les règles suivantes pour les besoins de l'uniformité : le classement s'effectue comme si les parenthèses, les apostrophes, les traits d'union et les espaces entre les mots n'existaient pas; toutes choses égales par ailleurs, le moins précède le plus, c'est-à-dire que 1) la lettre sans accent prévaut sur la lettre avec accent, et 2) l'absence d'espace prévaut sur l'espace. Voici quelques exemples représentatifs :
Par ailleurs, les renvois aux termes anglais sont maintenant énumérés par ordre alphabétique, ce qui peut être utile dans le cas des mots «lourds» qui entrent dans de nombreuses listes de la partie lexique (action (13 renvois), base (11), plan (13), pouvoir (12), responsabilité (14), etc.).
2) L'économie d'espace
La nature analytique de l'index (p. ex., il y a des entrées distinctes pour facteur tout court, facteur décisif, facteur de production, facteur d'incitation, facteur dissuasif ainsi que facteur en jeu) et le fait que, pour un repérage rapide, bon nombre d'expressions et de locutions y figurent deux fois (selon le premier mot et selon le mot principal) impliquait une multiplication des entrées, que l'auteur a tout de même cherché à réduire au minimum par différents moyens.
Entre autres, les notions sont regroupées sous un verbe ou une locution verbale, un substantif ou, plus rarement, un adjectif. Ainsi, au lieu d'une entrée distincte pour mettre en vigueur : v. enforcement, operate et d'une autre pour mise en vigueur : v. implementation, l'index ne mentionne que l'expression verbale mettre en vigueur, qui renvoie aux trois termes anglais. Par conséquent, on fera bien de vérifier les dérivés d'un mot (p. ex., aller voir diriger si on ne trouve pas le mot direction) avant de conclure que la notion ne figure pas dans l'index.
Lorsqu'il a fallu arrêter un choix à cet égard, la priorité a été donnée au verbe sur le substantif, au substantif sur l'adjectif et à l'adjectif sur l'adverbe. Toutefois, cela n'a pas toujours été possible et il arrive qu'une série de renvois soient classés sous un substantif au lieu d'un verbe, notamment si les équivalents de la partie lexique sont tous ou presque tous des substantifs; pour la même raison, quelques renvois sont classés sous l'adjectif au lieu du substantif. Parfois enfin, pour des raisons sémantiques le choix s'est avéré pratiquement impossible, et on trouve des renvois à la fois sous le substantif et sous le verbe (p. ex., entretien/entretenir et réplique/répliquer), ou sous le substantif et l'adjectif (p. ex., subsistance/subsistant).
3) Le droit de cité
Pour qu'un terme français ait son entrée dans l'index, il faut qu'au moins un «synonyme» de ce terme figure dans la liste d'équivalents de la partie lexique où l'on renvoie l'utilisateur.
4) Les mots pluriels
Les mots sont inscrits au pluriel dans l'index s'ils figurent uniquement au pluriel dans une ou plusieurs listes d'équivalents de la partie lexique (p. ex., divergents : v. competing); ils sont inscrits au singulier s'ils figurent au singulier dans au moins une liste d'équivalents.
Au moment d'arrêter son choix sur une traduction proposée dans cette partie, l'utilisateur voudra bien se rappeler la formule consacrée : les solutions acceptables ne sont pas forcément interchangeables. Cela s'applique en particulier aux listes à caractère très général (account of (on ___), appropriate, increase, etc.), où les équivalents français, au lieu de traduire strictement le mot ou l'expression en rubrique, expriment plutôt de multiples nuances susceptibles d'y être associées.
Pour les termes à caractère technique ou juridique, on aura toujours intérêt à vérifier dans un ou plusieurs ouvrages spécialisés le sens exact des équivalents français.
Par ailleurs, même lorsqu'il est très étendu, l'éventail des équivalents proposés (p. ex., à challenge et à develop) ne couvre pas nécessairement toutes les possibilités. Dans le même ordre d'idées, les exemples en anglais dérivés du terme en rubrique ne sont fournis qu'à titre indicatif et n'ont aucun caractère limitatif.
À l'intérieur des listes, le classement ne respecte pas l'ordre alphabétique, mais les équivalents n'y sont pas pour autant jetés au hasard. Généralement répartis en verbes, substantifs, adjectifs, etc., ils sont aussi groupés, à l'intérieur de ces catégories, en blocs de mots ou d'expressions séparés par une ligne vierge qui correspondent à différents sens, nuances ou formes grammaticales (forme active, forme passive; construction directe, construction indirecte, forme pronominale; sujet nom de personne, sujet nom de chose; etc.). Cela a parfois rendu nécessaire la répétition de termes d'un bloc à l'autre (p. ex., action et actionner à l'entrée action, approche à approach, formel à formal), sauf cependant dans les listes à caractère très général (decrease, dispose of, etc.) où de telles répétitions auraient entraîné une surcharge inutile.
Les définitions des dictionnaires ne permettant pas toujours de tracer une démarcation nette entre les sens des termes analysés, l'intuition et l'imagination ont joué un rôle dans l'établissement de certains blocs, tout comme dans la répartition des renvois d'un bloc à l'autre. Il demeure qu'en regardant les premiers mots d'un bloc, on a la plupart du temps une idée assez juste du sens examiné à l'intérieur de celui-ci; tant mieux s'il comporte en plus un ou des renvois en caractères gras, car la signification apparaît encore plus clairement. Pour plusieurs termes à caractère très général, toutefois, il n'a pas été possible de répartir les renvois entre les blocs, de sorte qu'ils sont regroupés au bas des colonnes ou à la fin des listes (v. p. ex. appropriate, basis (on the ___ of) et increase).
Dans les cas où l'auteur a limité son champ d'analyse à certaines acceptions, les sens retenus sont indiqués sous forme de définitions entre crochets, après la vedette. Bien que l'ordre des blocs suive habituellement celui des sens ainsi définis, il n'y a pas de groupement strict en fonction des définitions (p. ex., au moyen de renvois numérotés), d'une part pour ne pas entraver la lecture rapide des équivalents, d'autre part à cause de l'arbitraire de ce genre de cloisonnement. Il convient aussi de noter que la limitation du champ d'analyse a entraîné la suppression de certains équivalents proposés dans la première édition, lesquels ne correspondaient plus aux définitions retenues.
On y trouve environ 3 000 entrées qui ont des rapports de ressemblance avec les quelque 250 entrées et sous-entrées de la partie lexique. Cet index peut donc, dans une modeste mesure, servir de mini-dictionnaire de synonymes en anglais : si l'on y consulte par exemple le mot manage, on constate qu'il renvoie à action, care, control, deal with, dispose of, -driven, governance, leader et operate.
Mais il peut aussi et surtout seconder le traducteur traduisant de l'anglais au français, car il permet d'embrasser d'un coup d'oeil les divers endroits de la partie lexique où se niche peut-être la solution à son problème. Par exemple, le mot imply, sans faire l'objet d'un traitement distinct dans la partie lexique, renvoie néanmoins aux entrées account of, affect, follow-up, involve, reflect, response, result in, say et suggest; l'utilisateur peut alors se diriger vers l'entrée ou les entrées qui correspondent le mieux à son contexte.
L'auteur s'est fait demander pourquoi certains mots qui donnent souvent du fil à retordre aux traducteurs, comme address, n'avaient pas leur propre entrée dans la partie lexique. La réponse se trouve dans l'index anglais. Si l'on y consulte ce terme particulier, on constate qu'il renvoie à concern, deal with, involve et regarding, et, dans une multitude de contextes, les équivalents fournis à ces quatre renvois, notamment à deal with, rendent tout aussi bien les sens usuels de address.
Signes | Les définitions |
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___ |
Dans les parenthèses et les crochets, remplace le terme qui précède les parenthèses ou les crochets. |
... |
Remplacent un mot ou une suite de mots quelconque; indiquent un emploi adjectival lorsqu'ils suivent un terme en vedette. |
+ |
Avec; ainsi que. |
--> |
Voir. |
; |
De façon générale, sert d'élément de séparation (p. ex., à l'intérieur des crochets et des parenthèses, sépare des exemples, définitions ou solutions de rechange; dans l'annexe, sépare les solutions proposées ainsi que les renvois). |
[ ] |
Utilisés pour les exemples et les brèves indications en français; leur contenu figure alors en italique. Ils contiennent également, à la suite d'un équivalent français, un exemple en anglais dérivé du terme en rubrique dans ce cas, leur contenu n'est pas en italique. Voir le paragraphe d'explication des parenthèses. |
( ) |
Contiennent soit une ou des solutions de rechange à ce qui précède, soit un ou des éléments pouvant être ajoutés ou omis selon le contexte. Contrairement aux indications en italique dans les crochets, qui tiennent de l'explication, le contenu des parenthèses fait partie intégrante des solutions examinées; les parenthèses servent également à préciser l'expression dans laquelle s'insère le mot qui précède. Voir le paragraphe d'explication des crochets. |
(?) |
Signale un emploi critiqué, un terme rare au Canada, un équivalent français d'origine douteuse, ou encore un équivalent qu'on peut utiliser parfois, dans un contexte particulier ou spécialisé, mais non de façon générale. Bref, une zone grise entoure le terme suivi d'un point d'interrogation, mais cette solution peut malgré tout s'avérer la bonne dans certains contextes. |