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12.4 Cas particuliers

Pour la clarté de l’exposé dans les sections qui suivent, les références données comme exemples ont la forme qu’elles auraient dans une liste bibliographique (voir 12.1 Dans les bibliographies). Lorsque les références sont fournies dans des notes en bas de page, les noms d’auteurs sont écrits sans inversion du prénom et du nom, ils sont en caractères ordinaires, et ils sont séparés du titre par une virgule (voir 12.2 Dans les notes en bas de page).

12.4.1 Document bilingue

Lorsque le titre d’un document bilingue apparaît dans les deux langues sur lamême page de titre, on peut par souci de précision faire suivre les deux titres en les séparant par le symbole d’égalité [voir 12.1.4e) Titre]. La façon dont le texte est disposé peut être précisée à la fin de la notice :

  • Service correctionnel du Canada. Guide de la gestion des cas = Case Management Manual, Ottawa, le Service, 1990 (?). Textes français et anglais disposés sur des colonnes parallèles.

Les titres d’un document bilingue apparaissent sur des pages de titre différentes lorsque les deux versions sont publiées séparément ou qu’elles sont imprimées tête-bêche. Si l’on veut par souci de précision fournir une notice complète, on peut signaler le titre parallèle à la fin de la notice :

  • Canada. Conseil du Trésor. Le guide des gestionnaires, 3e éd., Ottawa, le Conseil, 1993. Publié séparément en anglais sous le titre : The Manager’s Deskbook.

Dans le cas où les deux versions sont imprimées tête-bêche, une notice très complète peut même indiquer, côte à côte, le nombre de pages des deux versions :

  • Canada. Conseil du Trésor. Améliorer les services en utilisant l’information et les technologies de façon novatrice, Ottawa, Conseil du Trésor, Direction des communications et de la coordination, 1992, iii-36 p., iii-32 p. Texte en anglais et en français disposé tête-bêche. Titre anglais : Enhancing Services Through the Innovative Use of Information and Technology.

On peut procéder de façon semblable pour les documents plurilingues publiés par les grands organismes internationaux.

12.4.2 Article de journal ou de périodique

Pour les périodiques, le titre de l’article se met entre guillemets, le nom de la publication en italique, et la date de publication entre parenthèses :

  • Savard, Raymonde. « L’école dans la ville », Possibles, vol. 16,  1 (février 1992), p. 65-73.
  • Chatelain, J. « Un pouce et demi en haut des États-Unis », Les Temps modernes, xxxiii,  384 (juillet 1978), p. 2163-2251.
  • Jammal, Amal, et coll. « L’immunologie et son vocabulaire français », L’Actualité terminologique = Terminology Update, vol. 27,  3 (1994), p. 15-21.
  • Fernandez, C., A. COBOS et M.J. FRAGA. « The Effect of Fat Inclusion on Diet Digestibility in Growing Rabbits », Journal of Animal Science, vol. 72,  6 (juin 1994).
  • Paquet, Renaud. « La méthode de négociation raisonnée appliquée aux relations de travail », Optimum : la revue de gestion du secteur public, vol. 26,  2 (automne 1995), p. 21-27. Texte en anglais et en français disposé tête-bêche. Titre anglais : Optimum: the Journal of Public Sector Management.

Pour les journaux, on omet dans la pratique le volume et le numéro. La date n’est pas placée entre parenthèses :

  • Tremblay, Odile. « Sur les traces du Cinématographe », Le Devoir, 23-24 décembre 1995, p. B1.
  • Leblanc, Gérald. « Lutte à finir en Ontario : les syndicats montent aux barricades », La Presse, 2 mars 1996, p. E1.

Les périodiques comportent parfois des auteurs secondaires (voir 12.1.5 Auteur secondaire), mais il est rare qu’on les mentionne. Il s’agirait, par exemple, de la collectivité sous la responsabilité de laquelle paraît une publication qui n’expose pas nécessairement ses vues (voir 12.4.3 Publication en série) :

  • Tremblay, Richard. « La structure d’une loi », Légistique, Québec, Ministère de la Justice, vol. 3,  2 (1983).
Remarque

Si le titre de l’article contient lui-même des mots entre guillemets, on encadre généralement ces mots de guillemets anglais (voir aussi 7.3.2 Livres, journaux, revues et oeuvres d’art) :

  • Marquis, Julien. « “We had a dream…” », Informatio, vol. 18,  3 (1989), p. 5.

12.4.3 Publication en série

Les publications en série comprennent les périodiques, les journaux, les rapports annuels, les annuaires, les mémoires, etc. On indique le nom de la collectivité-auteur [voir 12.1.3c) Auteur] lorsque la publication a un caractère administratif : rapport annuel, annuaire, liste de membres, etc. :

  • Fédération des centres locaux de services communautaires du Québec. Annuaire,
  • Agence canadienne de développement international. Rapport annuel 1994-1995,
  • Ontario. Ministère du Tourisme et des Loisirs. Rapport annuel 1984-1985,

On peut aussi mentionner, comme auteur secondaire (voir 12.1.5 Auteur secondaire), la collectivité responsable du contenu d’une publication. Cette mention permet notamment de distinguer des publications portant le même titre. Elle est surtout utilisée pour les publications des associations, des administrations publiques, des universités :

  • Bulletin, Corporation professionnelle des médecins du Québec,
  • Légistique, Québec, Ministère de la Justice,
  • Meta : journal des traducteurs = Meta: Translators’ Journal, Université de Montréal, Département de linguistique et de traduction,

Dans la pratique, les références à des publications en série portent presque toujours sur un numéro particulier et sont succinctes. Pour les périodiques, par exemple, on ne mentionne souvent que le titre, suivi du numéro et de la date. Celle-ci figure entre parenthèses :

  • Liberté,  205 (février 1993).
  • L’actualité chimique canadienne = Canadian Chemical News, vol. 36,  1 (janv. 1984).
  • Critère,  41 (printemps 1986), Montréal, Critère, 1986. Comprend les actes d’un colloque de la revue tenu à Montréal.
  • Meta : journal des traducteurs = Meta: Translators’ Journal, Université de Montréal, Département de linguistique et de traduction, vol. 11,  1 (mars 1966), Montréal, Presses de l’Université de Montréal, 1966.

Lorsque la notice renvoie à l’ensemble d’une publication en série, on mentionne la première livraison de la publication. Cette mention est suivie d’un trait d’union et de quelques espaces blancs. Si la publication a cessé de paraître, on mentionne la première et la dernière livraison :

  • Terminogramme,  1 (janvier 1980)-    ,
  • Maintenant,  1 (janv. 1962)- 141 (déc. 1974),

La mention de l’adresse bibliographique est facultative, tout comme les notes bien sûr :

  • Terminogramme,  1 (janvier 1980)-   , Québec, Éditeur officiel du Québec. Trimestriel.

12.4.4 Partie d’un livre

Une notice bibliographique peut porter sur une partie d’un livre plutôt que sur le livre complet : chapitre, section, contribution, essai, nouvelle, poème, etc. Chaque partie peut être d’un auteur différent, comme dans le cas de textes réunis dans un même recueil par un « éditeur scientifique » [voir 12.1.3b) R.1 Auteur]. Sont également considérés comme parties de livres les articles de dictionnaires et d’encyclopédies.

Le titre de la partie se met toujours entre guillemets, celui du livre en italique (voir aussi 7.3.2 Livres, journaux, revues et oeuvres d’art). Dans une notice complète figurent en outre la mention des pages où se trouve la partie répertoriée, et le volume s’il s’agit d’un dictionnaire ou d’une encyclopédie :

  • Ferron, Jacques. « Une fâcheuse compagnie », Contes, Montréal, Bibliothèque québécoise, 1993, p. 60-63.
  • Reggiani, Serge. « À Jean Cocteau », Dernier courrier avant la nuit, Paris, L’Archipel, 1995, p. 33-42.
  • Lipovetsky, Gilles. « La société humoristique », L’ère du vide, Paris, Gallimard, c1983, 1989, coll. « Folio ». Chapitre V de l’ouvrage.
  • Bonenfant, Jean-Charles. « Le cadre institutionnel du système politique québécois », Le système politique québécois, recueil de textes préparé par Édouard Cloutier et Daniel Latouche, Montréal, Hurtubise HMH, 1979, 555 p., coll. « L’homme dans la société ».
  • « Congo », Grand dictionnaire encyclopédique Larousse, Paris, Larousse, 1982, vol. 3.

On peut juger plus clair d’employer la préposition dans, ou le mot latin in, lorsque l’auteur de la partie et celui de l’ouvrage ne sont pas la même personne. Le nom de l’auteur de l’ouvrage s’écrit alors sans inversion :

  • Jacob, Suzanne. « Le réveillon », in François Gallays, Anthologie de la nouvelle au Québec,
  • Carrier, Denis. « La stratégie de la négociation collective », dans Noël Mallette, La gestion des relations de travail au Québec,

Certains généralisent à tous les cas cet emploi de dans ou de in :

  • Lipovetsky, Gilles. « La société humoristique », dans L’ère du vide, Paris, Gallimard, c1983, 1989, coll. « Folio ».
  • Normand, X. « Pétrole : le raffinage », dans Encyclopædia Universalis, Paris, Encyclopædia Universalis, 1972, vol. 11, p. 882-886.

12.4.5 Recueil d’un auteur

Lorsqu’un ouvrage contient deux œuvres d’un même auteur sans comporter de titre général, on sépare les deux titres par la mention « suivi de » :

  • Charron, François. La beauté pourrit sans douleur, suivi de La très précieuse qualité du vide,

S’il y a plus de deux titres, il est plus simple de n’indiquer que le titre principal, et de signaler les autres à la fin de la notice. De même, si les œuvres sont réunies sous un titre collectif, on peut détailler le contenu de l’ouvrage à la fin de la notice :

  • Arrabal. Théâtre, VI, Paris, Christian Bourgois, 1969. Comprend Le jardin des délices, Bestialité érotique et Une tortue nommée Dostoïevsky.

12.4.6 Actes de colloque

Pour les travaux d’un colloque, d’une conférence, d’un congrès, d’un séminaire, d’une assemblée ou de tout autre type de réunion, on écrit d’abord le titre tel qu’il apparaît dans le document. On indique entre parenthèses le numéro de la conférence si celle-ci fait partie d’une série. Sont ensuite mentionnés le lieu et la date de l’événement. À la fin de la notice, après le point (voir 12.1.10 Notes), on ajoute les notes jugées nécessaires :

  • Colloque sur l’aménagement au Québec (3e) : inventaire et affectation des ressources, Sherbrooke, 1982, Montréal, Association canadienne-française pour l’avancement des sciences, 1983.
  • Actes du XIIIe Colloque international de linguistique fonctionnelle, Corfou, 1986, Paris, SILF, 1987.
  • Rapport de la Conférence des Nations Unies sur l’eau, Mar del Plata, Argentine, 14-25 mars 1977, New York, Nations Unies, 1977, v-188 p. Document : E/CONF.70/29.
  • American Translators Association Conference (28th): Across the Language Gap, Albuquerque, New Mexico, 8-11 octobre 1987, Medford, N.J., Learned Information, 1987, xi-567 p. Travaux de la 28e conférence annuelle de l’American Translators Association.

S’il s’agit d’une activité régulière d’un organisme, la notice peut commencer par le nom de l’organisme :

  • Association pour l’avancement des sciences et des techniques de la documentation. L’information dans le processus décisionnel : travaux du 8e congrès tenu à Montréal du 4 au 7 novembre 1981, Montréal, Asted, 1982, 226 p.
  • Société de linguistique romane. Actes du XIIIe congrès international de linguistique et philologie romanes tenu à l’Université Laval (Québec, Canada) du 29 août au 5 septembre 1971, publié par Marcel Boudreault et Frankwalt Möhren, Québec, Presses de l’Université Laval, 1976, 2 vol., LXXXVI-1209 p. et 1248 p.

Lorsque le titre même du document ne fait pas mention du colloque, on peut ajouter l’information nécessaire à la fin de la notice, dans les notes :

  • Francard, Michel, éd. L’insécurité linguistique dans les communautés francophones périphériques, Louvain, Institut de linguistique de Louvain, 1994, 2 tomes, 223 p. et 145 p. Actes du colloque de Louvain-la-Neuve tenu du 10 au 12 novembre 1993.

12.4.7 Document juridique

Pour les documents juridiques, les notices varient selon la nature du document. Si le document, par exemple, est publié sous forme de livre, la notice est rédigée selon le modèle qui s’applique aux livres. Si le texte fait partie d’un recueil, le modèle se rapproche du schéma employé pour les parties de livres.

La notice d’une loi ou d’un règlement est établie au nom de l’autorité qui l’a promulgué ou adopté. Pour un projet de loi, on inscrit le numéro, suivi du titre. Le recueil de lois ou de règlements lui-même est cité comme un livre. Comme dans les autres cas, on fournit à la fin de la notice (voir 12.1.10 Notes) les renseignements jugés importants pour bien identifier le document :

  • Québec. « Loi sur les régimes complémentaires de retraite », Gazette officielle du Québec, partie 2 : Lois et règlements, Québec, Éditeur officiel du Québec, 1989, chap. 38, p. 3963-4047.
  • Canada. « Règlement sur le certificat de capacité de matelot qualifié = Regulations Certification of Able Seamen », Codification des règlements du Canada (1978) = Consolidated Regulations of Canada, 1978, Ottawa, Imprimeur de la Reine, 1978, vol. 15, chap. 1411. Texte en français et en anglais.
  • Projet de loi C-71 : Loi modifiant la Loi sur les explosifs = Bill C-71: an Act to amend the Explosives Act, Ottawa, Groupe Communication Canada, 1995. 35e législature, 1re session (1994-1995), 1re lecture, 24 février 1995.
  • Canada. Lois révisées du Canada (1985) : révision réalisée sous le régime de la Loi sur la révision des lois = Revised Statutes of Canada, 1985: prepared under the authority of the Statute Revision Act, Ottawa, Imprimeur de la Reine, 1985. Comprend 8 vol., 5 suppl., appendices.

12.4.8 Décision judiciaire

La notice bibliographique d’une décision judiciaire est établie au titre de la décision, qui est inscrit entre guillemets. Les noms des parties ne sont pas donnés intégralement. On indique d’abord le nom du demandeur ou de l’appelant, suivi de l’abréviation « c. » pour « contre », puis le nom du défendeur ou de l’intimé. Si le nom du tribunal n’apparaît pas dans le titre du document, on peut le mentionner à la fin de la notice (voir 12.1.10 Notes) :

  • « Levasseur c. La Reine », Recueil des arrêts de la Cour suprême du Canada = Canada Supreme Court Reports, 3e cahier, vol. 3 (1994), p. 518-519.

12.4.9 Thèse ou mémoire

Les thèses et mémoires sont traités comme des livres, mais on peut mentionner à la fin de la notice le fait qu’il s’agit d’une thèse. On peut aussi mentionner le grade ou le titre postulé et l’année où il a été conféré, ainsi que l’établissement où la thèse a été soutenue :

  • Jobin, Pierre-G. Les contrats de distribution de biens techniques, Québec, Presses de l’Université Laval, 1975, xix-303 p., « Bibliothèque juridique », A-1. Thèse soutenue par l’auteur à l’Université de Montpellier en 1972.
  • Dion, Léon. La révolution allemande du XXe siècle : l’idéologie politique du national socialisme, 1955, 639 p. Thèse de doctorat en sciences politiques, Université Laval.

12.4.10 Document électronique

Avec l’évolution rapide de l’informatique et la prolifération de documents de toute sorte, le modèle de notice proposé ci-après est sans doute appelé à changer. Il s’inspire d’un projet de norme de l’ISO qui était en instance d’approbation au moment de la publication du présent ouvrage.

a) Règle générale

Les éléments à mentionner dans une notice complète devraient apparaître dans l’ordre suivant :

Un nom d’auteur figure essentiellement dans les cas d’articles, de messages électroniques, d’études. Très souvent, la notice d’un document complet est simplement établie au titre de l’œuvre.

Le support est mentionné entre parenthèses à la suite du titre [voir aussi 12.1.4c) Titre]. Il peut s’agir d’un document en ligne, d’un CD-ROM (ou « cédérom » selon la graphie proposée par l’Académie française et adoptée par certains journaux), d’une bande magnétique, d’une disquette ou d’un autre moyen de stockage électronique. Il est utile de donner une description précise :

  • (base de données en ligne)
  • (base de données sur bande magnétique)
  • (CD-ROM)
  • (babillard en ligne)
  • (programme informatique sur disque)
  • (courrier électronique)

Le numéro de l’édition peut être accompagné du numéro de la version :

  • 5e éd. rev., version 3.5

Il est important d’indiquer la date de mise à jour, s’il y a lieu :

  • revu le 2 octobre 1995
  • mis à jour en janvier 1994

La date de référence s’applique aux documents en ligne : c’est la date à laquelle on a consulté le document. Sa mention est facultative. Elle se place entre parenthèses :

  • (réf. du 3-1-1996)
  • (consulté le 14 mars 1997)

La série correspond à la collection (voir 12.1.9 Collection); comme celle-ci, elle se met entre guillemets.

C’est dans les notes (voir 12.1.10 Notes) que l’ISO recommande d’indiquer le nombre d’unités d’un document électronique, s’il y a lieu. Il est aussi très pratique d’y décrire la configuration informatique qui est nécessaire pour consulter le document. On peut y mentionner l’existence de matériel d’accompagnement. C’est là aussi qu’on indique que le document peut être consulté surInternet, en en donnant l’adresse. Comme on le voit, les notes dans la référence d’un document électronique risquent d’être surchargées : il est donc important de s’en tenir à l’essentiel.

b) Document complet

La référence des bases de données, des programmes informatiques, des monographies, des publications en série, des babillards électroniques, suit la règle générale :

Base de données, monographie, programme informatique

  • Delphes (en ligne), Paris, Chambre de commerce et d’industrie de Paris, Direction de l’information économique, 1980-    . Mis à jour chaque semaine.
  • GIFT : grammaire informatisée du français au travail, réalisé par Formation linguistique Canada, Commission de la fonction publique, Ottawa, Groupe Communication Canada, 1994. Didacticiel d’apprentissage du français langue seconde. Trois disquettes, 3 1/2 po, 720 Ko. Configuration minimale : ordinateur compatible IBM, 640 Ko de mémoire vive, DOS 3.3, écran CGA ou à haute résolution. Requiert un clavier canadien-français.
  • Kirk-Othmer. Encyclopedia of Chemical Technology (en ligne), 3e éd., New York, John Wiley, 1984 (réf. 3 janvier 1990). Offert par DIALOG, Palo Alto (Calif.).
  • Axworthy, Glen. Where in the World is Carmen Sandiego? (disque), version pour IBM/Tandy, San Rafael (Calif.), Borderbund Software, 1985, série « Exploration ». 1 disque, 5 1/4 po.
  • Carroll, Lewis. Alice’s Adventures in Wonderland (en ligne), Texinfo éd. 2.1, Dortmund (All.), WindSpiel, nov. 1994 (consulté le 10-2-1995). Sur Internet : <URL:http//www.germany.eu.net/books/carroll/alice.html>.
  • Brisson, Dominique, et Natalie Coural. Le Louvre, peintures et palais (CD-ROM), réalisé par Index+, Paris, Montparnasse Multimédia et Réunion des musées nationaux, 1995, « J’imagine le Monde ». Configuration minimale : Mac LCIII, 3,5 Mo de mémoire vive; PC 386, 8 Mo de mémoire vive, Windows 3.1, écran 256 couleurs.
  • Le visuel : dictionnaire multimédia trilingue (CD-ROM), Montréal, Québec/Amérique International, 1996. Publié en Europe par Havas édition électronique et aux États-Unis par MacMillan Digital. Configuration : hybride PC 486, 5 Mo de mémoire vive, Windows 95; Mac 68030, système 7.5, 5 Mo de mémoire vive, 256 couleurs.
  • Larousse multimédia encyclopédique (CD-ROM), Paris, Larousse, 1995. 1 disque. 1 manuel d’utilisation. Configuration : ordinateur compatible PC 486, 4 Mo de mémoire vive, Windows 3.1, lecteur de CD-ROM double vitesse, carte de son, écran VGA, carte vidéo 256 couleurs.
  • Dictionnaire Hachette multimédia (CD-ROM), réalisé par ISG Productions et Hachette Livres, Paris, Production Matra-Hachette Multimedia, 1995.
  • L’histoire du Canada (disque optique compact), réalisé par l’Office national du film, le Réseau canadien d’information sur le patrimoine et le Musée canadien des civilisations, Ottawa, Office national du film, 1994. 1 disque, 4 3/4 po. 1 dictionnaire du chiffre. Configuration minimale : ordinateur compatible IBM 386DX (25MHz), 4 Mo de mémoire vive, minimum de 2 Mo inutilisés sur le disque dur, MS-DOS 3.3, Windows 3.1, carte VGA ou SVGA et écran couleur, souris compatible Microsoft.

Publication en série

  • Profile Canada (CD-ROM), Toronto, Micromedia, 1993- , « The Canadian Connection ». Accompagné d’un guide de l’utilisateur. Configuration : ordinateur compatible IBM, 490 Ko de mémoire vive, DOS 3.3, 2 Mo inutilisés sur le disque dur, lecteur de CD-ROM (norme MPC). Trimestriel.

Babillard électronique, forum de discussion

  • PACS-L (Public Access Computer System Forum) (en ligne), Houston (Texas), University of Houston Libraries, juin 1989-   . Internet : <listserv@uhupvml.uh.edu.>.
  • Parker, Elliott. « Re : Citing Electronic Documents », dans PACS-L (Public Access Computer System Forum) (en ligne), Houston (Texas), University of Houston Libraries, 24 novembre 1989, 13 h 29 HNC (consulté 1-1-1995, 16 h 15 HNE). 4 écrans. Internet : <URL:telnet://brsuser@a.cni.org>.

c) Partie d’un document

La règle est bien sûr d’indiquer le titre de la partie. On l’encadre de guillemets. On mentionne aussi, s’il y a lieu, sa numérotation et son emplacement dans le document hôte. La présentation de la notice varie selon qu’il s’agit d’une simple section du document, d’une contribution ou d’un article :

Chapitre ou section

  • World Factbook (CD-ROM), Washington (D.C.), Central Intelligence Agency, 1990, « Spain Vital Statistics ». ID Number : CI WOFACT 1106.
  • Carroll, Lewis. Alice’s Adventures in Wonderland (en ligne), Texinfo éd. 2.1, Dortmund (All.), WindSpiel, nov. 1994 (consulté le 10-2-1995), chapitre VII, « A Mad Tea-Party ». Sur Internet : <URL:http//www.germany.eu.net/books/carroll/alice.html#SEC13>.

Contribution

  • McConnell, W. H. « Constitutional History », dans The Canadian Encyclopedia (CD-ROM), version Macintosh 1.1, Toronto, McClelland  Stewart, 1993.

Article d’une publication en série

  • Price-Wilkin, John. « Using the World-Wide Web to Deliver Complex Electronic Documents: Implications for Libraries », The Public-Access Computer Systems Review (en ligne), 1994, vol. 5,  3 (consulté le 28 juillet 1994), p. 5-21.
  • Nan, Stone. « The Globalization of Europe », Harvard Business Review (en ligne), mai-juin 1989 (réf. 3-9-1990). Offert par BRS Information Technologies, McLean (Virginie).

d) Courrier électronique

Lorsqu’on donne la référence d’un message électronique, on peut considérer le destinataire comme un auteur secondaire (voir 12.1.5 Auteur secondaire) :

  • Bégin, Pierre. Annonces (courrier électronique), message envoyé à Marie-Pier Nepveu, 16 mars 1996 (consulté le 4-4-1996).

12.4.11 Film ou vidéo

La référence est établie au titre de l’œuvre; le réalisateur est considéré comme un auteur secondaire (voir 12.1.5 Auteur secondaire), et son nom apparaît donc après le titre. En général, on insère une mention telle que « film cinématographique » ou « enregistrement vidéo » entre parenthèses après le titre.

Les personnes et les collectivités qui ont participé à la réalisation de l’œuvre sont — comme le réalisateur — des auteurs secondaires, et leur nom est inscrit après le titre. Le nom du producteur ou de la société réalisatrice apparaît dans l’adresse bibliographique. On indique ensuite le nombre d’unités matérielles, le genre de document, la durée de la projection exprimée en minutes et la largeur du support (voir 12.1.10 Notes). On trouve ces détails sur l’étiquette de l’enregistrement ou dans le générique :

  • L’entrevue d’emploi : stratégies et tactiques (enregistrement vidéo), réalisé par l’Office national du film et par Emploi et Immigration Canada, Ottawa, Office national du film, 1984. 1 vidéocassette, 5 min, 1/2 po.
  • Complexe Grande Baleine (film), Montréal, Hydro-Québec, 1981. 1 bobine, 24 min, 16 mm. Offert aussi sur vidéocassette, 3/4 po et 1/2 po.

Les noms des personnes qui font partie de la distribution peuvent être énumérés, si on le juge nécessaire, à la fin de la notice (voir 12.1.10 Notes). On peut aussi à cet endroit fournir des renseignements sur les titres parallèles du document, la version sous-titrée ou codée pour malentendants, l’adresse du distributeur, les formats offerts, etc. :

  • Mon oncle Antoine, réalisation de Claude Jutra, scénario de Clément Perron, images de Michel Brault, Montréal, Office national du film, 1971. 4 bobines de films, 110 min, 16 mm. Distribution : Jean Duceppe, Olivette Thibault, Claude Jutra, Hélène Loiselle, Lionel Villeneuve, Monique Mercure, Jacques Gagnon, Lyne Champagne. Couleurs. Offert également en 35 mm et en vidéocassette.