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5.3.2 Devises et maximes

Les devises, quelle que soit la langue dans laquelle elles sont formulées, se composent souvent en italique :

  • Je me souviens
  • A mari usque ad mare
  • Qui s’y frotte s’y pique

Il en va de même des dictons, des maximes, des proverbes :

  • Hâtez-vous lentement, maxime de Boileau
  • la maxime italienne : Traduttore, traditore
  • Comme le dit le proverbe, plaie d’argent n’est pas mortelle.

Comme ils sont assimilables à des citations, les dictons, maximes, devises et proverbes sont parfois laissés en romain et guillemetés (voir 7.2.12 Guillemets ou italique?).

7.2.12 Devises et maximes

Les devises, maximes, adages, proverbes, dictons, sont souvent composés en italique (voir 5.3.2 Devises et maximes). Mais comme ils sont assimilables à des citations dont on ne connaît pas l’auteur, ils peuvent tout à fait rester en caractères ordinaires et être encadrés de guillemets :

  • « Je me souviens »
  • « Qui s’y frotte s’y pique »
  • Comme dit le proverbe, « plaie d’argent n’est pas mortelle ».
  • Le principe « à travail égal, salaire égal » est fort éloigné de la réalité.
  • « “Dis-moi ce que tu lis, je te dirai qui tu es”, il est vrai, mais je te connaîtrai mieux si tu me dis ce que tu relis » (F. Mauriac).

Quand les devises et maximes sont en langue étrangère, on ne doit utiliser que l’un des deux procédés, l’italique ou les guillemets, et non les deux à la fois comme dans le cas des citations en langue étrangère (voir 7.2.8 Citations étrangères et traduction) :

  • « A mari usque ad mare »
    la maxime italienne : « Traduttore, traditore »