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FRANCOPHONE ORIGINE [2 records]
Record 1 - internal organization data 2021-08-06
Record 1, English
Record 1, Subject field(s)
- Inhabitant Names and Names of Peoples
Record 1, Main entry term, English
- French-speaking Canadian
1, record 1, English, French%2Dspeaking%20Canadian
correct, see observation, noun, Canada
Record 1, Abbreviations, English
Record 1, Synonyms, English
- Franco-Canadian 1, record 1, English, Franco%2DCanadian
correct, see observation, noun, Canada
- French Canadian 1, record 1, English, French%20Canadian
correct, see observation, noun, Canada
- Canadien 2, record 1, English, Canadien
former designation, correct, see observation, noun, Canada
- Canadienne 2, record 1, English, Canadienne
former designation, correct, see observation, noun, Canada
Record 1, Textual support, English
Record number: 1, Textual support number: 1 DEF
An inhabitant of Canada whose main or native language is French; usually, a Canadian whose ancestors originally came from France, or who emigrated from a Francophone country. 3, record 1, English, - French%2Dspeaking%20Canadian
Record number: 1, Textual support number: 1 OBS
Plural forms: French-speaking Canadians; French Canadians; Franco-Canadians. In English, the noun and the adjective have the same spelling, though the adjective never takes the form of the plural. 4, record 1, English, - French%2Dspeaking%20Canadian
Record number: 1, Textual support number: 2 OBS
Canadien, Canadienne: A French Canadian, man or woman [from such a usage in French Canada]. 2, record 1, English, - French%2Dspeaking%20Canadian
Record 1, French
Record 1, Domaine(s)
- Noms d’habitants et noms de peuples
Record 1, Main entry term, French
- Franco-Canadien
1, record 1, French, Franco%2DCanadien
correct, see observation, masculine noun, Canada
Record 1, Abbreviations, French
Record 1, Synonyms, French
- Franco-Canadienne 1, record 1, French, Franco%2DCanadienne
correct, see observation, feminine noun, Canada
- Canadien français 2, record 1, French, Canadien%20fran%C3%A7ais
correct, see observation, masculine noun, Canada
- Canadienne française 2, record 1, French, Canadienne%20fran%C3%A7aise
correct, see observation, feminine noun, Canada
- Franco 3, record 1, French, Franco
correct, see observation, masculine and feminine noun, Canada
- Canadien 4, record 1, French, Canadien
former designation, correct, see observation, masculine noun, Canada
- Canadienne 4, record 1, French, Canadienne
former designation, correct, see observation, feminine noun, Canada
Record 1, Textual support, French
Record number: 1, Textual support number: 1 DEF
Personne habitant le Canada (habitant au Canada) et dont la langue principale ou la langue maternelle est le français; habituellement, un Canadien descendant des Français venus s’établir en Nouvelle-France, ou immigré d’un pays francophone. 5, record 1, French, - Franco%2DCanadien
Record number: 1, Textual support number: 1 OBS
Formes plurielles : des Franco-Canadiens, des Franco-Canadiennes; des Canadiens français, des Canadiennes françaises; des Francos. Dans un nom de peuple, ne pas confondre le substantif, nom de personne, qui demande la majuscule initiale, et l’adjectif, un qualifiant, qui appelle la minuscule. 6, record 1, French, - Franco%2DCanadien
Record number: 1, Textual support number: 2 OBS
Canadien français, Canadienne française : Avec majuscule et sans trait d’union : Les Canadiens français de Vancouver. Les Canadiens français furent de grands explorateurs. 7, record 1, French, - Franco%2DCanadien
Record number: 1, Textual support number: 3 OBS
Franco-Canadien, Franco-Canadienne : Avec majuscules et trait d’union : Les Franco-Canadiens de l’Ouest. Les Franco-Canadiens se liaient d’amitié avec les Amérindiens. 7, record 1, French, - Franco%2DCanadien
Record number: 1, Textual support number: 4 OBS
franco- : Élément invariable de mots composés signifiant «de langue française, d’ascendance française». Les mots composés avec l’élément «franco-» s’écrivent avec un trait d’union. 8, record 1, French, - Franco%2DCanadien
Record number: 1, Textual support number: 5 OBS
Familier : un Franco (des Francos). 6, record 1, French, - Franco%2DCanadien
Record number: 1, Textual support number: 6 OBS
En milieux francophones canadiens, pour distinguer une personne d’origine française d’une d’origine anglaise, on a d’abord eu recours à «un Canadien, une Canadienne», puis à «un Canadien français, une Canadienne française». L'utilisation plus courante des termes «Anglophone, Francophone, Allophone, etc. »et leurs dérivés, jointe à la création de noms et d’adjectifs pour désigner les habitants des provinces et des territoires canadiens, ont contribué à remplacer ce terme par «Franco-Canadien, Franco-Canadienne», ou par le substantif approprié au milieu de vie du Francophone à nommer. Cependant, la langue parlée et écrite nuance encore entre «Canadien français, Canadienne française»(et l'adjectif correspondant «canadien-français, canadienne-française»), pour désigner les Canadiens d’origine française et ce qui les concerne, et «Franco-Canadien, Franco-Canadienne»(et l'adjectif correspondant «franco-canadien, franco-canadienne»), pour nommer les Canadiens d’expression française, peu importe leur origine, et ce qui les concerne. 5, record 1, French, - Franco%2DCanadien
Record number: 1, Textual support number: 7 OBS
Au cours des XVIe et XVIIe siècles, on appelait «Canadiens» ou «Canadois» les Amérindiens installés sur les rives du Saint-Laurent. Dans la seconde moitié du XVIIe siècle, l'appellation «Canadiens» s’applique aux Français établis dans la portion laurentienne de la Nouvelle-France pour les distinguer des militaires et des administrateurs français qui n’ étaient que de passage. Cette évolution est confirmée par l'apparition, dès 1688, du composé «François Canadiens». Au tout début du XVIIIe siècle, le mot «Canadien» ne s’employait déjà plus qu'en parlant des descendants des Français nés au pays, comme en témoigne La Hortan(1703) :«Canadiens, sont des naturels de «Canada» nez de pere & de mere François. »Au début du Régime anglais, l'appellation continue d’être attribuée de manière systématique aux francophones afin de les bien distinguer des Anglais nouveaux venus. L'Acte constitutionnel de 1791 entraîne le partage du pays en deux provinces, celle du Haut-Canada, l'Ontario, très majoritairement anglaise, et celle du Bas-Canada, le Québec, où domine la présence francophone. Cette mesure est à l'origine des appellations «Haut-Canadien» et «Bas-Canadien» qui, en plus de leur sens géographique, prennent peu à peu des connotations politiques et sociales. La forme spécifique «Canadien français», qui est attestée déjà avant le Régime anglais pour distinguer l'habitant du Canada du Français de France, s’oppose dorénavant à «Canadien anglais» qui fait son apparition au début du XIXe siècle; l'appellation «Anglais» demeure cependant de loin la plus fréquente, jusqu'au XXe siècle, pour nommer les Canadiens d’expression anglaise. Le sens de l'adjectif «canadien» a suivi le même cheminement. C'est ce qui explique que, pour les francophones du Canada, «Canadien» n’ ait pris véritablement son sens national qu'au XXe siècle. Dans l'usage des Acadiens qui se sont souvent appelés eux-mêmes «Français d’Acadie», le mot «Canadiens» s’applique [...] 4, record 1, French, - Franco%2DCanadien
Record 1, Spanish
Record 1, Campo(s) temático(s)
- Nombres de habitantes y nombres de pueblos
Record 1, Main entry term, Spanish
- francocanadiense
1, record 1, Spanish, francocanadiense
correct, see observation, masculine and feminine noun
Record 1, Abbreviations, Spanish
Record 1, Synonyms, Spanish
- canadiense francés 2, record 1, Spanish, canadiense%20franc%C3%A9s
masculine noun
- canadiense francoparlante 2, record 1, Spanish, canadiense%20francoparlante
masculine and feminine noun
Record 1, Textual support, Spanish
Record number: 1, Textual support number: 1 OBS
francocanadiense: canadiense de ascendencia y lengua francesas. 3, record 1, Spanish, - francocanadiense
Record 2 - internal organization data 2017-04-20
Record 2, English
Record 2, Subject field(s)
- Place Names (Canada)
Record 2, Main entry term, English
- Montréal
1, record 2, English, Montr%C3%A9al
correct, see observation, Canada, Quebec
Record 2, Abbreviations, English
Record 2, Synonyms, English
- city of Montréal 2, record 2, English, city%20of%20Montr%C3%A9al
correct, see observation, Canada, Quebec
- City of Montréal 2, record 2, English, City%20of%20Montr%C3%A9al
correct, see observation, Canada, Quebec
- Ville-Marie 3, record 2, English, Ville%2DMarie
former designation, correct, see observation, Canada, Quebec
- Hochelaga 3, record 2, English, Hochelaga
former designation, correct, see observation, Canada, Quebec
Record 2, Textual support, English
Record number: 2, Textual support number: 1 CONT
The most important city of the province of Quebec, but not its capital. It occupies all the Île de Montréal (or Montréal Island), the biggest island of the Hochelaga Archipelago, at the confluence of the St. Lawrence River and the Ottawa River. In 1535, Jacques Cartier visited the native village of Hochelaga on the slope of what he named "Mont Royal," but by 1608, year of the foundation of Québec, all the Iroquoians were gone. At the same location, Ville-Marie was founded as a missionary colony by Paul de Chomedey de Maisonneuve in 1642, though it was not until the conclusion of the "Grande Paix" (peace treaty) of 1701 that the colony stopped living in a permanent state of war. The establishment became the great centre of the fur trade and a starting point for expeditions by the coureurs de bois and voyageurs of the time. Trade from the port and agriculture on the surrounding plains contributed to the development of the city. By the 1820s, its population outnumbered that of the city of Québec. A dynamic merchant class began to invest and "St. James Street," now "la rue Saint-Jacques," became the country's financial centre. Around 1831, large-scale immigration enabled the population of British origin to be the majority in the city but, at the time of Confederation in 1867 and after, the francophones were again in the majority, gradually making the city the centre of the French culture in America. Erected as a municipality in 1832, the city underwent a steady growth with the addition of the territories of 35 towns over the years. If Toronto grabbed the title of "Business Capital" by the end of the 20th Century, Montréal remained the "Metropolis of Canada." In 1996, the metropolitan region grouped some 111 municipalities located on three of the islands of the Hochelaga Archipelago, Montréal Island, Jésus Island and Bizard Island, and, on the South Shore, the city of Longueuil and the seven others that were to be part of it on the 1 January 2002, the cities of Boucher ... 2, record 2, English, - Montr%C3%A9al
Record number: 2, Textual support number: 1 OBS
Coordinates: 45°30' 73°36' (Québec). 4, record 2, English, - Montr%C3%A9al
Record number: 2, Textual support number: 2 OBS
In Canada (with seven exceptions as of December 31, 2004), the name of an inhabited place has the same form in English and French, which form is listed in the Gazetteer of the province or territory in accordance with the inscription in the Incorporation Act of the entity. This rule also applies for the historic designation of an inhabited place, even if the designation is not or no longer gazetteered. 2, record 2, English, - Montr%C3%A9al
Record number: 2, Textual support number: 3 OBS
The "city of Montréal" is the geographical entity: "The city of Montréal takes its name from a contraction of the name given to the mountain by Jacques Cartier in 1535, "Mont Royal", while "City of Montréal" refers to its governing body or administrative instance. 2, record 2, English, - Montr%C3%A9al
Record number: 2, Textual support number: 4 OBS
The inhabitant of Montréal is a "Montrealer" (since 1919), man or woman. The name of the city always takes an accent while the demonym, taking an English form with the addition of an English suffix, is written without the accent. 5, record 2, English, - Montr%C3%A9al
Record 2, French
Record 2, Domaine(s)
- Toponymes (Canada)
Record 2, Main entry term, French
- Montréal
1, record 2, French, Montr%C3%A9al
correct, see observation, feminine noun, Canada, Quebec
Record 2, Abbreviations, French
Record 2, Synonyms, French
- ville de Montréal 2, record 2, French, ville%20de%20Montr%C3%A9al
correct, see observation, feminine noun, Canada, Quebec
- Ville de Montréal 2, record 2, French, Ville%20de%20Montr%C3%A9al
correct, see observation, feminine noun, Canada, Quebec
- Ville-Marie 3, record 2, French, Ville%2DMarie
former designation, correct, see observation, feminine noun, Canada, Quebec
- Hochelaga 3, record 2, French, Hochelaga
former designation, correct, see observation, feminine noun, Canada, Quebec
Record 2, Textual support, French
Record number: 2, Textual support number: 1 CONT
La plus importante ville de la province de Québec mais qui n’ en est pas la capitale. Elle occupe l'île de Montréal, la plus grande des îles de l'archipel d’Hochelaga, au confluent du fleuve Saint-Laurent et de la rivière des Outaouais. En 1535, Jacques Cartier visite le village autochtone d’Hochelaga sur les pentes de ce qu'il nomme le mont Royal, mais en 1608, à l'époque de la fondation de Québec, tous les Iroquoiens ont disparu de l'emplacement. Le sieur Paul de Chomedey de Maisonneuve y fonde, en 1642, Ville-Marie, une colonie missionnaire chargée d’évangéliser les «Indiens», mais seule la Grande Paix de 1701 permet à la colonie d’échapper au climat de guerre dans lequel elle doit vivre. L'avantageux emplacement du site en fait un centre de la traite des fourrures et le carrefour des coureurs de bois et des explorateurs. Le commerce et l'agriculture qui se fait sur les plaines environnantes permettent à la ville de se développer. En 1820, elle devient plus populeuse que la ville de Québec. Son dynamisme fait que s’y installe le centre des affaires du pays, sur la «St. James Street» d’alors, devenue la rue Saint-Jacques par la suite. Vers 1831, l'immigration massive permet aux habitants d’origine britannique de devenir majoritaire, mais, à compter de l'époque de la Confédération en 1867, la population francophone redevient supérieure à la population anglophone, la ville devenant le centre de l'expression de la culture française en Amérique. Érigée en municipalité en 1832, elle prend des dimensions imposantes à la faveur de 35 fusions de villes réalisées au fil des ans. Si, Toronto lui ravit le titre de «Capitale des affaires» à la fin du XXe siècle, elle conserve celui de «Métropole du Canada» et de «Ville aux cent clochers». En 1996, la région métropolitaine comprend environ 111 municipalités, celles occupant l'île de Montréal, l'île Jésus et l'île Bizard de l'archipel d’Hochelaga, et, sur la Rive-Sud, la ville de Longueuil et les sept autres [...] 2, record 2, French, - Montr%C3%A9al
Record number: 2, Textual support number: 1 OBS
Coordonnées : 45°30’ 73°36’ (Québec). 4, record 2, French, - Montr%C3%A9al
Record number: 2, Textual support number: 2 OBS
Au Canada (sauf sept exceptions au 31 décembre 2004), le nom d’un lieu habité a la même forme en français et en anglais, celle consignée au Répertoire de la province ou du territoire conformément à l’inscription sur l’Acte d’incorporation de l’entité. Cette règle s’applique également pour la désignation historique d’un lieu habité même si cette désignation ne figure pas ou plus au Répertoire. 2, record 2, French, - Montr%C3%A9al
Record number: 2, Textual support number: 3 OBS
Un nom de ville est féminin, même lorsque le pseudo-générique «ville» ne le précède pas : «Montréal est située sur une île, au cœur du Saint-Laurent». 2, record 2, French, - Montr%C3%A9al
Record number: 2, Textual support number: 4 OBS
La «ville de Montréal» est la ville géographique : La ville de Montréal doit son nom à la contraction de «mont Royal», nom que donne Jacques Cartier à la montagne dès 1535.». Par contre, «Ville de Montréal» signifie l’administration municipale ou la personne morale. 2, record 2, French, - Montr%C3%A9al
Record number: 2, Textual support number: 5 OBS
Le citoyen ou habitant de la ville de Montréal est un «Montréalais», une «Montréalaise» (depuis 1859); historiquement, l’habitant de Ville-Marie était un ou une «Ville-Mariste». 5, record 2, French, - Montr%C3%A9al
Record 2, Spanish
Record 2, Textual support, Spanish
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